Ce 7 novembre, deux épisodes faisant partie de la toute nouvelle série du réalisateur Vince Gilligan, Pluribus, sont sortis.
Cette série récente serait un nouveau projet du réalisateur. Disponible sur Prime Video et Apple TV, pour les spectateurs de plus de quinze ans, cette création est de quoi plaire aux fans de Gilligan, ainsi qu’à un public plus large. Un nouvel épisode de cette série sort chaque vendredi, de quoi tenir les auditeurs en haleine de semaine en semaine, pour ceux qui avaient déjà commencé à y jeter un œil. Mais pourquoi s’intéresser à ces épisodes ?
Pour commencer, le réalisateur est loin d’être un amateur. Vince Gilligan a produit Breaking Bad et Better Call Saul, considérées par certains comme les meilleures séries de tous les temps, possiblement à juste titre (l’expérience est subjective pour la consommation de l’art). Ces deux créations de Gilligan se centrent sur la vie de criminels à Albuquerque, la capitale du Nouveau-Mexique. Ceux appréciant la beauté de cette ville sont récompensés, la plupart des événements fictionnels de Pluribus auraient également lieu à Albuquerque.
Et il ne faut pas oublier que Gilligan a écrit trente épisodes de la série X-files, très appréciée, elle aussi, par les critiques. Bien que d’autres projets du réalisateur aient été moins appréciés, les espérances étaient hautes pour les épisodes parus, et elles continuent à l’être pour les prochains.
Ensuite, Rhea Seehorn s’attribue le rôle de la protagoniste. Il faut savoir que cette actrice a joué un rôle très apprécié par les critiques : celui de Kim Wexler un personnage phare de Better Call Saul, plus précisément une avocate douée, amante du protagoniste. Selon certains, Kim est un des meilleurs personnages féminins télévisés, par son interprétation par l’actrice, comme pour l’écriture du personnage par Vince. Grâce à ce rôle, Seehorn a reçu douze prix et deux fois plus de nominations.
Finalement, l’intrigue se promet originale. L’histoire est la suivante :
Se déroulant dans Albuquerque, les deux saisons de Pluribus suivraient Carol Sturka, une romancière malheureuse interprétée par Seehorn. Cette romancière est, a priori, la seule immunisée contre un virus qui rend les gens optimistes et heureux.
Cette série rentre ainsi dans la catégorie de science-fiction post-apocalyptique.
L’étymologie de Pluribus est la suivante : ce titre vient de l’expression latine E pluribus unum, signifiant “pour beaucoup, un seul”, révélant un peu plus sur les thèmes de cette série.
Je vous laisse découvrir par vous-mêmes cette série intéressante et captivante.
Par R., un membre d’Heure de Fourche.
Sources: